L’examen des formes en tant que faits archéologiques, tels qu'ils apparaissent lors de prospections ou tels que la fouille les révèle, et les outils mis en œuvre pour mener à bien cet examen dépendent de la nature et de l’état de conservation des vestiges : nous pouvons avoir affaire à des monuments exceptionnellement préservés ou à des formes que l’on ne peut plus appréhender qu’en négatif.
Tout au long de la chaîne d'acquisition et d'analyse que nous mettons en place, la possibilité de gérer nous-mêmes l'évolution de nos propres données sur le long terme et de veiller à la compatibilité des choix techniques effectués permet d'assurer la pérennité des informations recueillies et produites, ainsi qu'un travail collaboratif ou à distance. Les outils et les méthodes que nous utilisons sont multiples. Leur diversification permet de ne pas dépendre d’un seul type de matériel ou d'un unique logiciel.
Textes de J.-Ph Droux et C. Duvette (actu. 02-2014)
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